EN CONSTRUCTION
Le Capriolo de chez multiplex, 6cc, env1.4m, 2,5 kg 
Le Fokker DVII, un des meilleurs biplan de la première guerre mondiale, encore pas mal de taf dessus car je compte le réaliser façon maquette. env 1.5m, prévu pour un 15cc 4temps.

La Réale de France, réalisée par mon père d'après les plans du musée de la marine, simplement magnifique!

Ma guitare électrique.
Après quelques réflexions je me suis lancé dans le projet ambitieu de construire une guitare électrique. Corps en acajou, des dizaines de couches de vernis, 2 micros doubles Di Marzio, un Paf Pro et un Fred, un vibrato sous license 'flyod rose' et un son que j'adore, je crois que je ferai une page juste pour elle.
Ecoutez ou écoutez (la sa part déjà un peu plus en vrac), le tout sur des p'tits playback de Mr Joe Satriani.
La construction: Tout d'abord j'ai fait faire le manche par un luthier, puis j'ai réalisé en CTP la forme de la guitare que je me suis empressé de lui apporter. Après qu'il ai reporté sur le galbe les emplacements du manche, du vibrato et des micros, je suis rentré chez moi tout content avec un manche tout neuf, mon galbe et un énorme bloc d'acajou, d'ailleurs c'est drôlement plus lourd que le balsa (c'est d'une évidence ce que je viens de dire). Ensuite découpe du contour, et c'est la que tout a commencé avec un seul ciseau à bois et une grosse chutte d'acajou pour marteau. Il m'a fallu plus d'un mois pour faire les défonces des micros, manche, vibrato et prise jack le plus propre possible. Et encore un bon mois pour faire le profil de l'instrument et son ponçage.
La finition: Bon sang c'était rien du tout la mise en forme, une bonne vingtaine de couches d'apprêt polyuréthane, ponçage entre chaque couche bien sur, 4 à 5 couches de vernis toujours polyuréthane et toujours le ponçage. Et arriva ce beau matin d'automne ou avant de partir au boulot je prends la bombe de vernis POLYURETHANE, et hop 5 minutes après le corps de ma guitare était magnifique, brillant à souhait, uniforme, autant vous dire que ma journée au travail fût un pur bonheur. Je rentre le soir chez moi, impatient comme un enfant qui va retrouver ses jouets, le sourir jusque derrière les oreilles je crois bien, je tombe la veste, file dans la pièce ou trônait mon chef d'oeuvre et HORREUR, mais qu'ai-je bien pu faire pour mériter ça? TOUT le vernis avait craquelé en séchant, mon travail réduit à néant, je m'était donc usé les empreintes digitales pour en arriver là? je ne vous souhaite pas chers amis modélistes et autres de tel moment de déception et de découragement. Mais tellement déçu que je m'y suis remis de suite, ponçage, vernis, ponçage, vernis, avec la rage d'en finir, non mais! c'est quand même pas un bout de bois qui ve me les x/-......! Et finalement j'ai terminé par un ponçage au 600 à l'eau et j'ai redonné le brillant avec un polish, deux semaines après tout de même.

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